Cap sur l’objectif avec le conseiller bancaire dans le siège du copilote
Quiconque a déjà pris l’avion a été en contact avec ses étiquettes, mais rares sont ceux qui connaissent le fabricant PrintAvia Aviation AG de Zwingen. La Banque CIC accompagne l’entreprise et ses pilotes depuis le lancement jusqu’à leur envolée actuelle. Il s’agit à présent de se focaliser sur l’avenir.
Discrétion et sécurité
Paris-Charles de Gaulle, London-Heathrow, Madrid-Barajas. La liste peut se poursuivre à l’infini. Car quel que soit l’aéroport européen où l’on atterrit, on entre en contact avec des produits de Zwingen. Le « Made in Zwingen » est prisé dans le monde entier. Pourtant, rares sont ceux qui connaissent la PME responsable, à savoir PrintAvia Aviation AG. Mais ce n’est pas un problème pour son propriétaire, créateur et directeur Sandor Puskas. Bien au contraire : « Pour nous, la discrétion et la sécurité sont une priorité. Si nos livraisons arrivaient en retard, les compagnies aériennes seraient à l’arrêt. »
Des imprimantes et machines à coudre tournent à plein régime dans le vaste hall de fabrication situé à la limite du village de Zwingen dans le canton de Bâle-Campagne. Sur place, 45 collaborateurs s’assurent que les billets, étiquettes et étiquettes de bagages, mais aussi les uniformes et les produits à bord, tels que les savons et les kits first class, parviennent aux compagnies aériennes et sociétés d’assistance en escale en temps utile et avec un niveau de qualité irréprochable.
Trois mille produits de Zwingen pour le monde entier
PrintAvia Aviation AG comptabilise quelque 3000 produits et 500 tonnes de matériel brut dans son entrepôt. Selon les souhaits du client, elle peut livrer 5000 articles supplémentaires. Durant la seule année 2017, elle a importé 2500 tonnes de matériel et en a exporté tout autant. À cet effet, PrintAvia Aviation AG gère son propre entrepôt sous douane. Aujourd’hui, l’entreprise est la seule au monde à couvrir toute la chaîne de création de valeur sous un seul toit.
Sandor Puskas a pourtant débuté très modestement il y a vingt ans, sans connaître le secteur de l’impression. Initialement, il travaillait pour une compagnie aérienne, pour laquelle il achetait des produits, jusqu’à ce qu’un fabricant suédois le débauche pour commercialiser ses étiquettes. Cependant, ce projet n’a jamais vraiment décollé. Sandor Puskas en supputait les raisons : il ne suffisait pas de commercialiser un seul produit. Il fallait toute une gamme de produits. La direction du groupe ne partageant pas cet avis, il a emprunté 20 000 francs pour créer une S.A.R.L. et lancé sa première production.
Reto Bornhauser de la Banque CIC en conversation avec Sandor Puskas, propriétaire de la PrintAvia Aviation AG.
Les solutions standard ne suffisent pas
Peu après, il fait la connaissance de Reto Bornhauser. « Il croyait en mon projet, alors que je n’en étais qu’au tout début », se souvient Sandor Puskas. À partir de là, l’activité a décollé. Grâce aussi aux prestations de la Banque CIC, tels que les crédits en compte courant et les crédits d’investissement, les garanties et les financements immobiliers, tant au plan professionnel que privé. « J’échange régulièrement avec mes conseillers bancaires. Les décisions sont prises en partenariat. Je souhaite me concentrer sur mon activité et me fier à mon conseiller pour régler les questions financières », souligne Sandor Puskas. Il ne se satisferait cependant pas des solutions standard.
Pour ce qui est des finances privées et professionnelles, Sandor Puskas fait confiance à Reto Bornhauser : « La Banque CIC a toujours prouvé qu’elle pouvait réagir vite. Comme j’obtiens tout d’un seul tenant, j’économise non seulement de l’argent, mais aussi beaucoup de temps. » Si Reto Bornhauser comprend le modèle d’affaires de ses clients, c’est parce qu’il prend le temps de le faire, notamment en visitant l’entreprise.
Premiers préparatifs pour la vente de l’entreprise
PrintAvia Aviation AG connaît actuellement une envolée. Elle possède depuis peu un entrepôt à Miami. Et pour pouvoir répondre à la demande, elle entend acquérir aujourd’hui deux nouvelles machines et engager jusqu’à dix collaborateurs supplémentaires. À près de 55 ans, Sandor Puskas envisage néanmoins sa succession et aimerait lever le pied. « Ces prochaines années, je voudrais confier les rênes de l’entreprise à quelqu’un d’autre», révèle-t-il. Il envisage par conséquent de vendre son entreprise. Il échange également à ce sujet avec Reto Bornhauser et la Banque CIC.
PrintAvia Aviation AG connaît actuellement une envolée. Le propriétaire Sandor Puskas est satisfait.